LES ARTISTES.
Explorez l’histoire de nos expositions à travers les artistes qui ont exposé ces dernières année à la Maison Gramont. Cette archive est une plongée dans l’univers créatif de talents variés, présentés au fil des années.
ARTISTES
2025
Raphaëlle Boutié a suivi des études de Lettres Classiques à la Sorbonne, puis les ateliers des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Elle expose régulièrement depuis 2004, lors d’expositions personnelles, collectives et de salons.
Nicole Masse est diplômée des Arts Décoratifs de Grenoble depuis 1972. Après avoir exercé comme professeur de dessin, elle s’adonne aux travaux d’architecture et de décoration lors de l’aménagement ou la construction de ses résidences. En 1995, elle se lance dans la sculpture et commence à exposer en 2007.
Dès l’enfance Aude Saloni montre des dispositions toutes particulières pour le dessin : elle s’oriente d’abord vers le Brevet des métiers d’Art où elle acquiert la maitrise du Trompe l’œil mural, « l’Art du faux ». Après une formation complémentaire à l’école privée MURS DEC’ de Nantes, elle découvre le travail fascinant des Peintres de la réalité au travers de l’ouvrage de Martin Monestier sur le Trompe-l’œil Contemporain. A partir de ce jour, Aude s’éprend d’une passion pour le travail fascinant des maîtres du réalisme tel que Jacques poirier, Pierre Gilou, et Henri Cadiou.
Diplômée de l’ESAG Penninghen, Barbara Degos a débuté sa carrière comme graphiste chez Publicis, où elle a participé à la création de logos et d’identités visuelles.
Après une parenthèse consacrée à l’éducation de ses enfants elle s’est tournée vers la sculpture en autodidacte, ouvrant ainsi un nouveau chapitre de sa démarche artistique.
Artiste céramiste, Maria Oriza Pérez vit et travaille actuellement à Madrid. Elle expose très régulièrement depuis 1991, au sein d’expositions collectives et individuelles. Son œuvre a été récompensée dans des concours tels que ceux de L’Alcora, Marratxí, Talavera, CERCO, Jaén, Madrid, Valladolid, Palencia, Burgos et Aveiro.
Nadine Vergues grandit au pied du Larzac, dans un environnement rural où la matière et le toucher faisaient partie intégrante de son quotidien. Elle étudie aux Beaux-Arts de Sète puis de Toulouse où elle développe un intérêt particulier pour les matériaux bruts et les formes libres. Il y a une vingtaine d’années un choc plastique l’a marqué profondément, impulsant un un tournant décisif dans sa carrière : la découverte du feutre
industriel, un matériau rudimentaire issu du recyclage plastique.
Ce jour-là, elle est devenu sculpteur.