LES
ARTISTES.
Explorez l’histoire de nos expositions à travers les artistes qui ont exposé ces dernières année à la Maison Gramont. Cette archive est une plongée dans l’univers créatif de talents variés, présentés au fil des années.
ARTISTES
2025
Artiste céramiste, Maria Oriza Pérez vit et travaille actuellement à Madrid. Elle expose très régulièrement depuis 1991, au sein d’expositions collectives et individuelles. Son œuvre a été récompensée dans des concours tels que ceux de L’Alcora, Marratxí, Talavera, CERCO, Jaén, Madrid, Valladolid, Palencia, Burgos et Aveiro.
Après des études de Lettres à Angers, Anne-Sophie Migné enseigne le français à l’étranger où elle fréquente assidument le milieu artistique et se forme à la sculpture céramique. De retour en France, elle quitte l’enseignement du français et obtient un diplôme d’art-thérapeute, métier qu’elle exerce pendant 10 ans, avant de se tourner exclusivement vers la création et l’animation d’ateliers de céramique.
Emma Godebska vit et travaille à Nîmes, dans le Gard, depuis 2012.
Elle a étudié les arts appliqués à Londres, et a travaillé quelques années dans la bijouterie avant de développer son propre langage artistique. Durant les 10 dernières années elle a participé à plusieurs expositions internationalement, ainsi qu’à des résidences et des projets collaboratifs.
José Almansa pratique une forme très personnelle d’abstraction géométrique.
Ses pièces sont celles d’un sculpteur, reliefs et rondes-bosses, créées à partir de bois et de métal, en gamme limitée de coloris, souvent monochromes.
Nadine Vergues grandit au pied du Larzac, dans un environnement rural où la matière et le toucher faisaient partie intégrante de son quotidien. Elle étudie aux Beaux-Arts de Sète puis de Toulouse où elle développe un intérêt particulier pour les matériaux bruts et les formes libres. Il y a une vingtaine d’années un choc plastique l’a marqué profondément, impulsant un un tournant décisif dans sa carrière : la découverte du feutre
industriel, un matériau rudimentaire issu du recyclage plastique.
Ce jour-là, elle est devenu sculpteur.
Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre à Bruxelles, Pierre Vermeir a travaillé au Royaume-Uni et en Asie, en tant que directeur artistique de HGV, une agence de design qu’il a fondé à Londres et ensuite à Bangkok.
Il a conçu des identités de marque pour diverses industries, telles que les théatres, les musées, l’hôtellerie et les compagnies aériennes. Il a aussi créé plusieurs séries de timbres-postes pour la Royal Mail du Royaume-Uni.
Son travail de design a été publié dans plus de 40 livres et a remporté plus de 30 prix internationaux.
Aujourd’hui, à la retraite, il ressent la même passion pour la peinture que celle pour le design autrefois : il s’inspire des artistes comme Seurat, Léon Spilliaert, Jan Mankes, Gustav Klimt et des artistes japonais de la gravure sur bois.
Peintre autodidacte, Muriel Dorembus vit, travaille et expose à Paris.
Sophie Blanc a étudié à l’école Boulle, section ébénisterie et restauration du mobilier avant de se spécialiser en dorure.
Elle se lance dans la dorure végétale en 2016, sur les plantes qu’elle glane lors de ses balades.
En 2021 son atelier est référencé dans le Guide Homo Faber par la Fondation Michelangelo.
Alyssia ROËLANDT est née en 1994 en région parisienne
C’est à l’adolescence qu’elle fait l’acquisition de son premier appareil photo. Intéressée par l’univers cinématographique des films d’horreur, elle a d’abord cherché son style photographique sous cette influence.
Ainsi, ses premières explorations de lieux insolites ont commencé en 2011.
Antoine Chuecos est un artiste plasticien, installé à Labécède-Lauragais (Aude).
Multidisciplinaire, il aborde sans complexe le dessin, la sculpture et la musique tout en se définissant « investigateur à plein temps ».
Ses premiers travaux le portent, à sculpter le genre humain, source inépuisable à ses yeux ou à explorer le champ de la déconstruction.
Plus jeune, au retour de la Toscane de son père, Daniel Bamabgioni cherchait maladroitement ce qu’il pourrait bien faire de cette peinture italienne qui le fascinait…
Aujourd’hui, il espère saisir quelques résonances furtives, dans les plis d’une mémoire intime, dans cet entrebâillement qui laisse voir tout autant qu’il cache.
Timothée Chalazonitis est né en 1989, à Paris. Il a étudié en Histoire de l’art et Archéologie, puis a été diplômé de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris et des Beaux-Arts de Paris. Il s’intéresse aux traces laissées par l’homme et à son envie de garder en mémoire des histoires, des souvenirs.
Elysabeth Béclier a commencé à dessiner très jeune. D’abord autodidacte, elle a ensuite suivi les ateliers pour adultes des Beaux-Arts de Toulouse, participé à des stages d’été.
Après avoir pratiqué plusieurs années l’aquarelle, le pastel, l’acrylique et les techniques mixtes, elle a fait de l’huile son médium de prédilection.
Elle complète depuis 2016 son approche picturale par un travail sur le monotype qui ouvre d’étonnantes possibilités grâce à la part importante laissée à l’aléatoire,
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, classe de Michel Charpentier, Guillemette de Williencourt a obtenu une licence d’histoire de l’Art et d’arts plastiques.
En 2025, elle crée le décor de l’opéra L’Apocalypse d’Icare qui sera présenté à Aix en Provence dans le cadre de l’Année Cézanne. Décors en papier mâché dont elle présente la statue d’Icare à la Maison Gramont de Fanjeaux.
Matteo Vergnes est un jeune artiste plasticien originaire de la Ciotat, diplômé des beaux-arts de Marseille. Il a participé à différentes expositions lui permettant de montrer son incroyable travail de dessin, tels des récits, au graphisme riche et saturé. Sa pratique artistique est pluridisciplinaire incluant dessin, peinture, écriture et performance. « Créer c’est résister » écrivait Deleuze et c’est ce qu’il s’efforce de faire.
Nicole Masse est diplômée des Arts Décoratifs de Grenoble depuis 1972. Après avoir exercé comme professeur de dessin, elle s’adonne aux travaux d’architecture et de décoration lors de l’aménagement ou la construction de ses résidences. En 1995, elle se lance dans la sculpture et commence à exposer en 2007.
Né à Rochefort-sur-Mer en 1966, Frédéric Lucas, armé de ses carnets de dessin et d’un sac à dos, entreprend des voyages dès les années 80 et s’enrichit de multiples expériences. Attiré depuis longtemps par la pratique des arts, il reste cependant déterminé à exercer sa discipline en autodidacte résolu.
C’est de retour à La Rochelle, après un séjour d’une dizaine d’années outre-Atlantique où il a exposé et vendu ses premières toiles, qu’il entreprend, sous le pseudonyme Ledœufre, de détourner l’imagerie liée aux marins pêcheurs de la condition anecdotique et régionaliste qui lui est fréquemment affectée.
Peintre, photographe, collagiste et plasticien, Yves Caillaud est un expérimentateur qui fait sienne la phrase de Kurt Schwitters : « Mon idéal est de mettre en relation toutes les choses du monde».
Il a été primé à de nombreuses reprises (deux prix Artension, Prix à Paris Artistes, Art Cité, la FIACC,…)
Valérie Bérenger a reçu la médaille d’or de l‘école de peinture Van-der-Kelen à Bruxelles.
Elle est rentrée de Belgique imprégnée de couleurs nordiques et énigmatiques. Elle réalise aussi aujourd’hui de la peinture décorative en France et à l’étranger (Arabie
Saoudite, Angleterre ou Bruxelles). A Paris, où elle réside, elle crée des effets de matière inédits avec le studio de création AC Matière pour des grandes maisons de luxe.
Là aussi elle cherche un cadre à son intuition. Et elle le trouve.
Valérie Bérenger est une artiste de l’instinct.
Née près de Londres en 1968, Julia vit dans les Alpes françaises depuis 2000. Infirmière psychiatrique et artiste autodidacte, elle explore les thèmes de l’identité et de la communication à travers des formes en 3D. Son travail a été exposé en Europe et au-delà, et fait partie de nombreuses collections privées.