LES
ARTISTES.
Explorez l’histoire de nos expositions à travers les artistes qui ont exposé ces dernières année à la Maison Gramont. Cette archive est une plongée dans l’univers créatif de talents variés, présentés au fil des années.
ARTISTES
2025
Autodidacte, Geneviève Delannay a toujours été passionnée par la peinture depuis son enfance. Elle a déjà exposé plusieurs fois, et reçu des récompenses dont celle de la ville de Rouen et le prix de la Comtesse de Paris pour ses huiles et aquarelles.
Raphaëlle Boutié a suivi des études de Lettres Classiques à la Sorbonne, puis les ateliers des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Elle expose régulièrement depuis 2004, lors d’expositions personnelles, collectives et de salons.
Geneviève Boussouar, diplômée des Beaux-Arts de Saint-Etienne, est installée depuis 2018 à Salles-d’Aude. Présentant depuis 2006 son travail de peinture et de gravure à travers de nombreuses expositions, elle dévoile ici pour la première fois son travail photographique jusqu’alors intimiste. Ses créations sont à la limite de l’abstraction, et la pousse à la quête d’images poétiques.
Evelyne Dominault débute sa démarche artistique en 1994 par la peinture abstraite, avant de passer au figuratif puis à la sculpture.
Depuis, elle a participé à de nombreuses expositions et reçus des prix au national et à l’international.
Ses œuvres font le bonheur des collectionneurs au Canada et aux USA.
Elysabeth Béclier a commencé à dessiner très jeune. D’abord autodidacte, elle a ensuite suivi les ateliers pour adultes des Beaux-Arts de Toulouse, participé à des stages d’été.
Après avoir pratiqué plusieurs années l’aquarelle, le pastel, l’acrylique et les techniques mixtes, elle a fait de l’huile son médium de prédilection.
Elle complète depuis 2016 son approche picturale par un travail sur le monotype qui ouvre d’étonnantes possibilités grâce à la part importante laissée à l’aléatoire,
Peintre autodidacte, Muriel Dorembus vit, travaille et expose à Paris.
Autodidacte, Jacqueline Esteves de Cooman peint depuis 1997. Elle a expérimenté différentes techniques : monotype, gravure sur bois, peinture à l’huile sur papier ou sur toile, peinture acrylique sur chassis toilé ou toile libre.
Matteo Vergnes est un jeune artiste plasticien originaire de la Ciotat, diplômé des beaux-arts de Marseille. Il a participé à différentes expositions lui permettant de montrer son incroyable travail de dessin, tels des récits, au graphisme riche et saturé. Sa pratique artistique est pluridisciplinaire incluant dessin, peinture, écriture et performance. « Créer c’est résister » écrivait Deleuze et c’est ce qu’il s’efforce de faire.
Nele Boudry habite et travaille à Caunes-Minervois, dans l’Aude. Elle travaille la peinture à l’huile et le fusain pour créer des portraits feutrés d’être humains.
Issue d’une famille d’artistes, son style se caractérise par une « Renaissance contemporaine ».
Marie-Hélène Carcanague a suivi la formation de l’école des Beaux-Arts de Toulouse. Entre abstrait et figuratif, sa peinture évoque souvent l’être humain, « espèce d’animal mal élevé » dit-elle. On peut parfois voir y apparaître des bêtes imaginaires ayant des choses à dire. Elle peint les désordres du monde, et pour s’en consoler, un univers de rêve et de fantaisie…
Damien Carquillat est un artiste autodidacte né à Toulouse. A partir de 2012, il pratique le croquis sur le vif et le dessin (encre et aquarelle) dans les rues de Toulouse en s’inscrivant dans le mouvement «Urban Sketchers».
Rapidement, il se tourne vers la peinture à l’huile en réalisant des intérieurs, paysages de nature et urbains.
Depuis 2017, son travail s’axe essentiellement sur la représentation figurative du corps.
Il développe depuis la technique de superposition de couches d’huile plus ou moins transparentes, laissant apparaître les couches inférieures. La plupart des peintures sont réalisées sur panneaux de bois apprêtés de façon lisse afin de restituer un éclat dans les couleurs.
Né à Rochefort-sur-Mer en 1966, Frédéric Lucas, armé de ses carnets de dessin et d’un sac à dos, entreprend des voyages dès les années 80 et s’enrichit de multiples expériences. Attiré depuis longtemps par la pratique des arts, il reste cependant déterminé à exercer sa discipline en autodidacte résolu.
C’est de retour à La Rochelle, après un séjour d’une dizaine d’années outre-Atlantique où il a exposé et vendu ses premières toiles, qu’il entreprend, sous le pseudonyme Ledœufre, de détourner l’imagerie liée aux marins pêcheurs de la condition anecdotique et régionaliste qui lui est fréquemment affectée.
Née en 1970, Perrine est diplômée de l’école des Arts Appliqués Duperré, elle expose dans différentes galeries, salons d’art contemporain et reçoit également à son atelier en haute Provence à Simiane la Rotonde. Peindre et vivre au cœur de la couleur, telle est sa raison d’être et son engagement.
Dès l’enfance Aude Saloni montre des dispositions toutes particulières pour le dessin : elle s’oriente d’abord vers le Brevet des métiers d’Art où elle acquiert la maitrise du Trompe l’œil mural, « l’Art du faux ». Après une formation complémentaire à l’école privée MURS DEC’ de Nantes, elle découvre le travail fascinant des Peintres de la réalité au travers de l’ouvrage de Martin Monestier sur le Trompe-l’œil Contemporain. A partir de ce jour, Aude s’éprend d’une passion pour le travail fascinant des maîtres du réalisme tel que Jacques poirier, Pierre Gilou, et Henri Cadiou.
Chris Stevens, peintre figuratif, expose régulièrement depuis qu’il a obtenu son diplôme des beaux-arts à l’université de Reading en 1978.
Après avoir exercé l’essentiel de sa carrière à Londres, il vit et travaille désormais dans le sud de la France, où il poursuit sa pratique artistique depuis son atelier à Caunes-Minervois.
Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre à Bruxelles, Pierre Vermeir a travaillé au Royaume-Uni et en Asie, en tant que directeur artistique de HGV, une agence de design qu’il a fondé à Londres et ensuite à Bangkok.
Il a conçu des identités de marque pour diverses industries, telles que les théatres, les musées, l’hôtellerie et les compagnies aériennes. Il a aussi créé plusieurs séries de timbres-postes pour la Royal Mail du Royaume-Uni.
Son travail de design a été publié dans plus de 40 livres et a remporté plus de 30 prix internationaux.
Aujourd’hui, à la retraite, il ressent la même passion pour la peinture que celle pour le design autrefois : il s’inspire des artistes comme Seurat, Léon Spilliaert, Jan Mankes, Gustav Klimt et des artistes japonais de la gravure sur bois.
Après plus de 20 ans dans un univers numérique, Edit Bk a ressenti le besoin vital de créer dans un environnement « réel » et de donner vie à des œuvres d’une véritable densité, sur des supports non transformés par l’homme.
Stéatite, albâtre, onyx, marbre… désormais, elle sculpte dans son atelier à St AGNANT-DE-VERSILLAT dans la Creuse, des pierres brutes de toutes origines et de toutes formes.
Peintre, photographe, collagiste et plasticien, Yves Caillaud est un expérimentateur qui fait sienne la phrase de Kurt Schwitters : « Mon idéal est de mettre en relation toutes les choses du monde».
Il a été primé à de nombreuses reprises (deux prix Artension, Prix à Paris Artistes, Art Cité, la FIACC,…)
Timothée Chalazonitis est né en 1989, à Paris. Il a étudié en Histoire de l’art et Archéologie, puis a été diplômé de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris et des Beaux-Arts de Paris. Il s’intéresse aux traces laissées par l’homme et à son envie de garder en mémoire des histoires, des souvenirs.
Antoine Chuecos est un artiste plasticien, installé à Labécède-Lauragais (Aude).
Multidisciplinaire, il aborde sans complexe le dessin, la sculpture et la musique tout en se définissant « investigateur à plein temps ».
Ses premiers travaux le portent, à sculpter le genre humain, source inépuisable à ses yeux ou à explorer le champ de la déconstruction.
Plasticienne autodidacte, Nathalie Collados a toujours ressenti le besoin de peindre et dessiner. Lorsqu’elle rencontre Mohamed Belaid en Algérie, elle découvre un univers fascinant, celui de la terre.
C’est dans ses origines méditerranéennes et dans les traditions populaires qu’elle puise son inspiration.
Après une formation d’arts appliqués, Sandra Courlivant débute sa carrière artistique en réalisant des décors et fresques murales pendant 10 ans.
Puis elle revient à sa passion, le volume. Elle privilégie l’argile et se forme suite à de nombreux échanges avec des confrères céramistes et sculpteurs.
Après des études en Histoire de l’art, Olivier Delobel devient tailleur de pierre à Blois, puis sculpteur à Castres, à Carrare, à Narbonne… il finit par s’y fixer.
Il participe à de nombreux symposium et gagne plusieurs prix de sculpture dont celui du salon SAMI à Perpignan ou le grand prix du jury de sculpture à la biennale de Cabestany (66).
Curieux des mythes et des symboles, collectionneur, organisateur d’expositions et militant de l’art, ami de la poésie, Marc Giai-Miniet est né en 1946 à Trappes, là où il vit et travaille.
Peintre, graveur, il élabore également depuis de nombreuses années des constructions de matériaux divers qu’il appelle « boîtes », ne sachant pas les nommer autrement. Ces constructions semblent préciser de manière obsessionnelle sa pensée sur l’humanité, sur l’étrange humanité et complètent son univers borgésien et kafkaïen.
Nicole Masse est diplômée des Arts Décoratifs de Grenoble depuis 1972. Après avoir exercé comme professeur de dessin, elle s’adonne aux travaux d’architecture et de décoration lors de l’aménagement ou la construction de ses résidences. En 1995, elle se lance dans la sculpture et commence à exposer en 2007.
Véronique Matteudi est diplômée de l’école des Beaux Arts de Grenoble et de la Villa Arson à Nice. Elle passe toute son enfance dans le massif du Vercors. Aujourd’hui installée en région toulousaine, elle se consacre essentiellement à la sculpture et participe à de nombreux évènements liés à l’art et l’environnement. Elle crée essentiellement avec le végétal, la clématite sauvage (Lianes), le minéral ou la terre. C’est par une immersion dans la réalité du paysage que la création devient pour elle vecteur de lien et de dialogue entre l’homme et la nature.
Après des études de Lettres à Angers, Anne-Sophie Migné enseigne le français à l’étranger où elle fréquente assidument le milieu artistique et se forme à la sculpture céramique. De retour en France, elle quitte l’enseignement du français et obtient un diplôme d’art-thérapeute, métier qu’elle exerce pendant 10 ans, avant de se tourner exclusivement vers la création et l’animation d’ateliers de céramique.
Artiste céramiste, Maria Oriza Pérez vit et travaille actuellement à Madrid. Elle expose très régulièrement depuis 1991, au sein d’expositions collectives et individuelles. Son œuvre a été récompensée dans des concours tels que ceux de L’Alcora, Marratxí, Talavera, CERCO, Jaén, Madrid, Valladolid, Palencia, Burgos et Aveiro.
Nadine Vergues grandit au pied du Larzac, dans un environnement rural où la matière et le toucher faisaient partie intégrante de son quotidien. Elle étudie aux Beaux-Arts de Sète puis de Toulouse où elle développe un intérêt particulier pour les matériaux bruts et les formes libres. Il y a une vingtaine d’années un choc plastique l’a marqué profondément, impulsant un un tournant décisif dans sa carrière : la découverte du feutre
industriel, un matériau rudimentaire issu du recyclage plastique.
Ce jour-là, elle est devenu sculpteur.
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, classe de Michel Charpentier, Guillemette de Williencourt a obtenu une licence d’histoire de l’Art et d’arts plastiques.
En 2025, elle crée le décor de l’opéra L’Apocalypse d’Icare qui sera présenté à Aix en Provence dans le cadre de l’Année Cézanne. Décors en papier mâché dont elle présente la statue d’Icare à la Maison Gramont de Fanjeaux.