LES
ARTISTES.
Explorez l’histoire de nos expositions à travers les artistes qui ont exposé ces dernières année à la Maison Gramont. Cette archive est une plongée dans l’univers créatif de talents variés, présentés au fil des années.
ARTISTES
2025
Emma Godebska vit et travaille à Nîmes, dans le Gard, depuis 2012.
Elle a étudié les arts appliqués à Londres, et a travaillé quelques années dans la bijouterie avant de développer son propre langage artistique. Durant les 10 dernières années elle a participé à plusieurs expositions internationalement, ainsi qu’à des résidences et des projets collaboratifs.
Né à Rochefort-sur-Mer en 1966, Frédéric Lucas, armé de ses carnets de dessin et d’un sac à dos, entreprend des voyages dès les années 80 et s’enrichit de multiples expériences. Attiré depuis longtemps par la pratique des arts, il reste cependant déterminé à exercer sa discipline en autodidacte résolu.
C’est de retour à La Rochelle, après un séjour d’une dizaine d’années outre-Atlantique où il a exposé et vendu ses premières toiles, qu’il entreprend, sous le pseudonyme Ledœufre, de détourner l’imagerie liée aux marins pêcheurs de la condition anecdotique et régionaliste qui lui est fréquemment affectée.
Plus jeune, au retour de la Toscane de son père, Daniel Bamabgioni cherchait maladroitement ce qu’il pourrait bien faire de cette peinture italienne qui le fascinait…
Aujourd’hui, il espère saisir quelques résonances furtives, dans les plis d’une mémoire intime, dans cet entrebâillement qui laisse voir tout autant qu’il cache.
Evelyne Dominault débute sa démarche artistique en 1994 par la peinture abstraite, avant de passer au figuratif puis à la sculpture.
Depuis, elle a participé à de nombreuses expositions et reçus des prix au national et à l’international.
Ses œuvres font le bonheur des collectionneurs au Canada et aux USA.
José Almansa pratique une forme très personnelle d’abstraction géométrique.
Ses pièces sont celles d’un sculpteur, reliefs et rondes-bosses, créées à partir de bois et de métal, en gamme limitée de coloris, souvent monochromes.
Peintre, photographe, collagiste et plasticien, Yves Caillaud est un expérimentateur qui fait sienne la phrase de Kurt Schwitters : « Mon idéal est de mettre en relation toutes les choses du monde».
Il a été primé à de nombreuses reprises (deux prix Artension, Prix à Paris Artistes, Art Cité, la FIACC,…)
Timothée Chalazonitis est né en 1989, à Paris. Il a étudié en Histoire de l’art et Archéologie, puis a été diplômé de l’École nationale supérieure des Arts Décoratifs de Paris et des Beaux-Arts de Paris. Il s’intéresse aux traces laissées par l’homme et à son envie de garder en mémoire des histoires, des souvenirs.
Matteo Vergnes est un jeune artiste plasticien originaire de la Ciotat, diplômé des beaux-arts de Marseille. Il a participé à différentes expositions lui permettant de montrer son incroyable travail de dessin, tels des récits, au graphisme riche et saturé. Sa pratique artistique est pluridisciplinaire incluant dessin, peinture, écriture et performance. « Créer c’est résister » écrivait Deleuze et c’est ce qu’il s’efforce de faire.
Diplômée des Arts visuels et des Métiers d’arts Céramique, elle a effectué une résidence artistique de deux ans à Antibes avant d’ouvrir son atelier dans le Tarn, en 2018.
Son travail a été présenté dans de nombreuses expositions et salons de Métiers d’Art en France et à l’international : « Révélations » (Paris), « Saint-Sulpice Céramique » (Paris), « C14 » (Paris), « Art Ceram » (Sèvres) Centre de la Céramique Contemporaine de Giroussens (Tarn), « Résonnances » (Strasbourg), « Musée de Carouge » (Suisse), « Ceramic Art Andenne » (Belgique), « Biennale de Cheongju » (Corée du Sud), Pékin (Chine)… et lui a valu de nombreuses distinctions.
Après des études de Lettres à Angers, Anne-Sophie Migné enseigne le français à l’étranger où elle fréquente assidument le milieu artistique et se forme à la sculpture céramique. De retour en France, elle quitte l’enseignement du français et obtient un diplôme d’art-thérapeute, métier qu’elle exerce pendant 10 ans, avant de se tourner exclusivement vers la création et l’animation d’ateliers de céramique.
Curieux des mythes et des symboles, collectionneur, organisateur d’expositions et militant de l’art, ami de la poésie, Marc Giai-Miniet est né en 1946 à Trappes, là où il vit et travaille.
Peintre, graveur, il élabore également depuis de nombreuses années des constructions de matériaux divers qu’il appelle « boîtes », ne sachant pas les nommer autrement. Ces constructions semblent préciser de manière obsessionnelle sa pensée sur l’humanité, sur l’étrange humanité et complètent son univers borgésien et kafkaïen.
Patrice Poutout est un sculpteur autodidacte qui vit et travaille à Sault (84).
Il travaille le bois, sous forme de monolithes qu’il va teindre ou pigmenter de multiples manières.
Antoine Chuecos est un artiste plasticien, installé à Labécède-Lauragais (Aude).
Multidisciplinaire, il aborde sans complexe le dessin, la sculpture et la musique tout en se définissant « investigateur à plein temps ».
Ses premiers travaux le portent, à sculpter le genre humain, source inépuisable à ses yeux ou à explorer le champ de la déconstruction.
Artiste céramiste, Maria Oriza Pérez vit et travaille actuellement à Madrid. Elle expose très régulièrement depuis 1991, au sein d’expositions collectives et individuelles. Son œuvre a été récompensée dans des concours tels que ceux de L’Alcora, Marratxí, Talavera, CERCO, Jaén, Madrid, Valladolid, Palencia, Burgos et Aveiro.
Nicole Masse est diplômée des Arts Décoratifs de Grenoble depuis 1972. Après avoir exercé comme professeur de dessin, elle s’adonne aux travaux d’architecture et de décoration lors de l’aménagement ou la construction de ses résidences. En 1995, elle se lance dans la sculpture et commence à exposer en 2007.
Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts Visuels de La Cambre à Bruxelles, Pierre Vermeir a travaillé au Royaume-Uni et en Asie, en tant que directeur artistique de HGV, une agence de design qu’il a fondé à Londres et ensuite à Bangkok.
Il a conçu des identités de marque pour diverses industries, telles que les théatres, les musées, l’hôtellerie et les compagnies aériennes. Il a aussi créé plusieurs séries de timbres-postes pour la Royal Mail du Royaume-Uni.
Son travail de design a été publié dans plus de 40 livres et a remporté plus de 30 prix internationaux.
Aujourd’hui, à la retraite, il ressent la même passion pour la peinture que celle pour le design autrefois : il s’inspire des artistes comme Seurat, Léon Spilliaert, Jan Mankes, Gustav Klimt et des artistes japonais de la gravure sur bois.
Florence Penouty est née en 1965 à Paris. Elle est Diplômée de l’Enseignement Supérieur en Architecture Intérieure et Graphisme à Paris. Elle commence sa vie professionnelle en tant que graphiste et directrice artistique en agence de communication, y exerce pendant vingt ans une certaine créativité qui lui apprend beaucoup.
Mais quelque chose reste inaccompli, comme en sommeil…
Ce quelque chose la rattrape brusquement en 2014, lors d’une exposition de pastel : « un déclic s’est produit, comme une ouverture de porte, tout à coup, j’ai compris pourquoi j’étais là et ce que je devais faire »
Laurence Buaillon peint à l’huile sur bois, à l’image des peintres flamands de la renaissance.
Elle travaille un format original, haut et étroit, et illustre des personnages très souvent féminins, inspirés d’œuvres romanesques. Elle aime particulièrement les romancières des XIXe et XXe siècle, notamment Virginia Wolf.
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, classe de Michel Charpentier, Guillemette de Williencourt a obtenu une licence d’histoire de l’Art et d’arts plastiques.
En 2025, elle crée le décor de l’opéra L’Apocalypse d’Icare qui sera présenté à Aix en Provence dans le cadre de l’Année Cézanne. Décors en papier mâché dont elle présente la statue d’Icare à la Maison Gramont de Fanjeaux.
Françoise Langlois naît au cœur de la ville. Enfant, elle va seule au Louvre et vit ses premiers émois esthétiques en regardant les peintures primitives et en caressant les marbres. Ces émotions l’accompagnent toujours.
Plus tard, elle apprend la composition picturale, la décoration et l’architecture d’intérieur, pour finalement donner trois orientations techniques à son travail : les applications de papier, le tissage et la sculpture.